dimanche, mai 21, 2006

 

Des discothèques, un tournant inattendu, une quasi-crise cardiaque et une attaque à l'arme blanche (1ère partie)

Hey hey,

Fiou! Désolé pour l'absence de mise à jour hier. Je me suis trop couraillé et je suis revenu trop tard. Donc, récapitulons.

En fin de compte, je ne suis pas allé à Puerto Banús. La soirée a commencé vers 22 h quand Ryan et moi sommes arrivés chez Ulrike, qui reste dans les appartements de l'école (nul autre que Poumon d'acier m'a ouvert le grillage de l'immeuble). Ces appartements sont légendaires pour leur... comment dire, manque de fonctionnement parfait. Des prises de courant fonctionnent pas, des ampoules manquent, des meubles manquent! Etc. etc. Mais c'est quand même pas SI pire, quoi que j'ai vu de la moisissure au-dessus d'une bouche de ventilation (le cynique en moi dit que c'est pas surprenant).

Donc on est assis sur la terrasse dehors (3e étage environ), environ 7-8 d'entre nous (je fais les présentations : dans le sens contraire aux aiguilles d'une montre : Ryan, moi, Ulrike, le Belge francophone Steven, l'Allemande Lili, l'Écossaise Phillipa et l'Américaine uh, Helen je pense. C'est ben le fun, tout le monde placote dans la joie -- et tout le monde écoute quand une personne parle, ce qui m'a bien plu -- et tout le monde boit; personnellement, j'attaque une bouteille de schnapps à la cannelle (menoum). On prend des photos en masse, les résultats sont convenables.
On est supposés aller à P. Banús, comme vous le savez. Mais avant, les Brésiliens de l'appart du dessus nous invitent. On y va toute la gang. C'est malheureusement moins le fun là-bas (la gang était rendue fragmentée, y faisait trop chaud (on était rendus à l'intérieur) et il manquait de chaises. Personnellement, je serais resté toute la soirée sur la terrasse, mais bon.


Environ 1 heure plus tard, les Brésiliens "invitent" tout le monde dans le vieux quartier de la ville (à 10 minutes de l'appart et de l'école, et à 1 minute de mon building). Je lui demande, en sortant, où on va exactement. Il mentionne le mot "discoteca", et moi je réponds intérieurement "fuck".

J'haïs les discothèques.

Donc on se rend là à pied, il est environ 1 h 30 du matin et on est rendus 12-13. Le groupe s'étend sur plusieurs mètres... Moi, Lili, Ulrike et Poumon d'acier fermons la marche. On arrive dans la vieille ville.

La "Vieille ville"... Imaginez un paquet de petites rues assez courtes et étroites. Vous pouvez imaginer la suite.

On a perdu le reste du groupe!

Plusieurs minutes de tournage en rond, blagues sur le manque d'orientation de chacun de nous 4 et messages texte de cellulaire plus tard, on se retrouve finalement et on arrive à l'échafaud-- uh, à la discothèque.

Les autres sont déjà rentrés, il reste plus que Lili et moi dehors. Elle dit haïr les discos elle aussi. On entre quand même, et je réalise que quelque soit mon âge ou le pays où je me trouve, j'haïs toujours les discos. Lili me confirme qu'elle veut pas rester non plus.

Trente secondes plus tard, je vois que c'est sans espoir. Musique trop forte, ben trop de monde, etc. etc. Je dis à Steven qu'on va trouver un pub tranquille, il dit qu'il va ptet venir nous rejoindre dans 30 minutes.

Donc Lili et moi on a trouvé un pub tout près de la disco et on a placoté jusqu'à presque 4 heures du matin. C'était ben le fun, et exactement ce que je voulais comme atmosphère de fête : une place tranquille, un drink et une bonne conversation. Je vais reconduire Lili chez elle (vous pensez quand même pas que j'allais la laisser partir toute seule à 4 h du matin?) je lui mentionne que Ryan, Mario et moi allions à Malaga et je lui demande si ça l'intéresse (elle répond Quaveu), et je reviens chez nous à 5 h du matin, sans aucune nouvelle de Ryan, Steven et tous les autres.

OK, MAINTENANT ALLEZ À LA MISE À JOUR SUIVANTE!

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